Rencontrez les scientifiques qui mènent la recherche sur la Côte d'Azur ! À travers leurs portraits, découvrez leur parcours, leur vision de la médiation scientifique. Chaque portrait est accompagné de photographies, et notamment de celle d'un élément illustrant leur travail - qu'il s'agisse d'objets du quotidien, d'instruments de laboratoire, ou d'objets insolites. Ces interviews offrent un aperçu de leur engagement et de leurs pratiques pour rendre la science accessible à tous.
Abdelilah Wakkach Abdelilah Wakkach, chercheur CNRS au Laboratoire de Physiomédecine Moléculaire (LP2M), étudie les mécanismes moléculaires et cellulaires responsables de la maladie de Crohn. | |
Alain Burger Alain Burger, enseignant-chercheur à l'Institut de Chimie de Nice (ICN), observe des détails cellulaires précis et des processus biologiques tels que la division cellulaire et les interactions entre les acides nucléiques et les protéines à travers la microscopie super résolutive. Il travaille sur le DNA Paint, une technique basée sur la fluorescence. | |
Andrea Chiavassa Andrea Chiavassa, astrophysicien CNRS au Laboratoire Lagrange de l'Observatoire Côte d'Azur, étudie l'impact de l'activité stellaire sur la détection et la caractérisation des atmosphères planétaires. | |
Andreas Schedl Andreas Schedl, chercheur CNRS à l'Institut de Biologie Valrose (iBV), s'intéresse à la manière dont les organes sont influencés par le sexe et à l'impact des hormones sur le fonctionnement des organes, le renouvellement des cellules souches et les maladies. | |
Benjamin Damilano Benjamin Damilano, chercheur CNRS au Centre de Recherches sur l'Hétéroepitaxie et ses Applications (CRHEA), travaille sur les diodes électroluminescentes (LEDs). Son objectif est de développer des LEDs plus économes en énergie et à la durée de vie prolongée en intégrant des matériaux innovants comme le nitrate de gallium (GaN). | |
Bruno Antonny Bruno Antonny, chercheur CNRS à l’Institut de Pharmacologie Moléculaire et cellulaire (IPMC), étudie comment des protéines telles que GMAP-210 organisent l’espace cellulaire pour facilier le transport vésiculaire. | |
Cécile Guieu Cécile Guieu, spécialiste en biogéochimie marine et chercheuse CNRS au laboratoire d'océanographie de Villefranche-sur-Mer (LOV). étudie l’impact des sources hydrothermales peu profondes sur l’activité biologique dans les eaux de surface de l’Océan Pacifique sud subtropical occidental. Ses travaux montrent que les fluides hydrothermaux fertilisent l'eau en fer, permettant le développement du phytoplancton dans cette large zone de l'océan. | |
Didier Pisani Didier Pisani, chercheur CNRS au Laboratoire de Physiomédecine Moléculaire (LP2M), explore les mécanismes de protection contre l'ischémie/reperfusion et la modulation du stress oxydatif. Ses recherches se concentrent également sur le métabolisme cellulaire et le stress énergétique. | |
Elisabeth Lemaire Elisabeth Lemaire, chercheuse CNRS à l'Institut de Physique de Nice, étudie l’écoulement des mélanges de solides et de liquides. Elle cherche à comprendre comment ces mélanges s'écoulent sous l’effet de forces. Ses travaux, appliqués aux carburants des fusées et à la médecine, participent à des innovations industrielles | |
Élodie Vercken Élodie Vercken, chercheuse INRAE à l'Institut Sophia Agrobiotech, étudie l’expansion des populations introduites, notamment des ravageurs de cultures ou des agents de lutte biologique, en examinant comment elles s’établissent et se propagent dans de nouveaux environnements. | |
Éric Gilson Éric Gilson, chercheur INSERM à l'Institut de Recherche sur le Cancer et le vieillissement, étudie le vieillissement pour mieux comprendre ses mécanismes et développer des traitements contre les maladies liées à l'âge. Il s'intéresse aux télomères, les extrémités protectrices des chromosomes. | |
Éric Lombaert Éric Lombaert, ingénieur de recherche INRAE dans l'équipe de Biologie des populations introduites à l'Institut Sophia Agrobiotech, étudie la biologie évolutive au service de la santé des plantes. | |
Frédéric Havet Frédéric Havet est chercheur CNRS au sein du laboratoire Informatique, Signaux et Systèmes de Sophia Antipolis (I3S). Ses recherches portent sur la théorie des graphes, l'algorithmique de graphes et leurs applications notamment pour les réseaux et la bio-informatique. | |
Gaël Cristofari Gaël Cristofari, chercheur Inserm à l'Institut de Recherche sur le Cancer et le vieillissement (Ircan), étudie le comportement des gènes sauteurs afin d'identifier ceux qui altèrent nos gènes et provoquent des cancers. | |
Gianni Liti Gianni Liti, chercheur CNRS à l'Institut de Recherche sur le Cancer et le Vieillissement (IRCAN), cherche à comprendre les mécanismes par lesquels le matériel génétique d'un groupe génétiquement défini est incorporé de manière permanente dans un autre groupe, à partir d'un hybride ancestral. | |
Giorgio Krstulovic Giorgio Krstulovic est chercheur CNRS au laboratoire Lagrange à l'Observatoire de la Côte d'Azur. Ses travaux portent principalement sur l'étude analytique et numérique des systèmes complexes hors d'équilibre, tels que les fluides turbulents classiques et quantiques. | |
Guillaume Allibert Guillaume Allibert, enseignant-chercheur au Laboratoire d'Informatique, Signaux et Systèmes de Sophia Antipolis (I3S), vise à développer des solutions de navigation autonome pour drone en forêt, un environnement où les défis sont nombreux en raison de la perte de signal GPS et de la densité du terrain. Ses recherches sont cruciales pour des applications telles que la prévention des incendies, la recherche de personnes disparues, et la cartographie forestière pour l'entretien et la gestion des ressources. | |
Hélène Guizouarn Hélène Guizouarn, chercheuse CNRS à l'Institut de Biologie de Valrose, explore le dysfonctionnement de canaux ioniques dans les globules rouges, cause d’une maladie rare: la stomatocytose déshydratée héréditaire. Elle cherche à comprendre ces mécanismes pour développer des traitements contre cette forme d'anémie. | |
Jacques Barik Jacques Barik, enseignant-chercheur à l'Institut de Pharmacologie Moléculaire et Cellulaire (IPMC) essaye de comprendre comment le cerveau s'adapte à des changements environnementaux positifs ou négatifs. Plus particulièrement, il cherche à travers son ANR à comprendre quel est le lien entre addiction aux drogues et les troubles de l'humeur. | |
Jean-François Tanti Jean-François Tanti, chercheur Inserm au Centre Méditerranéen de Médecine Moléculaire (C3M), travaille sur les mécanismes cellulaires et moléculaires qui relient le remodelage pathologique et la dysfonction des tissus adipeux dans l'obésité au développement de la résistance à l'insuline, une anomalie métabolique centrale dans la pathogenèse du diabète de type 2 et du syndrome métabolique. | |
Laure-Emmanuelle Zaragosi Laure-Emmanuelle Zaragosi, chercheuse INSERM à l’Institut de Pharmacologie Moléculaire et Cellulaire, étudie les mécanismes moléculaires des maladies respiratoires chroniques (asthme, mucoviscidose etc…) pour identifier de nouvelles cibles thérapeutiques. | |
Laurent Labonté Laurent Labonté, chercheur CNRS à l'Institut de Physique de Nice (INPHYNI), travaille sur l'optique guidée et intégrée, avec un accent particulier sur les applications dans le domaine des communications quantiques. | |
Lucas Leclère Lucas Leclère, chercheur CNRS au Laboratoire de Biologie du Développement de Villefranche (LBDV), travaille sur les systèmes neuromusculaires complexes de deux espèces de méduses Clytia hemisphaerica et Pelagia noctiluca. Son objectif est de caractériser les muscles chez ces deux espèces pour reconstruire l'évolution précoce des gènes et types musculaires. | |
Marcel Deckert Marcel Deckert, chef d'équipe Microenvironnement, Signalisation et Cancer (MicroCAN) au Centre Méditerranéen de Médecine Moléculaire (C3M) étudie le microenvironnement tumoral ainsi que sur le rôle de certaines protéines dans l'inflammation et le cancer. Il est accompagné de Philippe Gual, chef d'équipeMaladies chroniques du foie associées à l'obésité et l'alcool (LIVDISEASES). Il cherche à mieux comprendre les complications hépatiques associées à l'obésité (stéatose hépatique non alcoolique : NAFLD) et à la consommation chronique d'alcool (maladie alcoolique du foie, ALD) | |
Marco Delbo Marco Delbo, chercheur au Laboratoire J.-L. Lagrange étudie les planétésimaux, ces corps primitifs formés par la coalescence de grains de poussière. | |
Marianne Saillard Marianne, chercheuse IRD au laboratoire Géoazur, étudie la formation des reliefs côtiers en Amérique du Sud, en lien avec le comportement sismique de la zone de subduction andine | |
Marie-Christine Chaboissier Marie-Christine Chaboissier, chercheuse CNRS à l'Institut de Biologie de Valrose, étudie la détermination du sexe et les premières étapes de la fertilité. Elle cherche à comprendre les mécanismes qui nous définissent en tant que femme ou homme, et à détecter les anomalies du développement sexuel grâce à de nouveaux outils diagnostiques | |
Massimo Giudici Massimo Guidici est chercheur CNRS à l'Institut de Physique de Nice (INPHYNI). Son domaine de recherche, la "photonique multimode" est un sujet novateur dédié à la génération et au contrôle d'états lumineux complexes pour des applications telles que le traitement de l'information, l'informatique photonique, la détection et l'imagerie. | |
Michela Chessa Michela Chessa, enseignante-chercheuse Université Côte d’Azur au GREDEG, étudie comment nos comportements influencent l'innovation verte. Elle analyse comment la créativité, la gestion du risque et les contextes sociaux jouent un rôle dans la création de produits respectueux de l'environnement. | |
Nathanaël Guigo Nathanaël Guigo, chercheur Université Côte d'Azur à l'Institut de Chimie de Nice (ICN), vise à améliorer les matériaux biosourcés comme l'alcool polyfurfurylique (PFA) et les humines, en ajustant leur structure pour les rendre plus flexibles et fonctionnels. En optimisant la structure de ces matériaux, cela facilite leur réutilisation et leur recyclage. | |
Pascal Thérond Pascal Thérond, enseignant-chercheur Université Côte d'Azur à l'Institut de Biologie Valrose (iBV), a été récompensé pour sa découverte concernant la molécule appelée Hedgehog. Cette molécule connue pour son rôle d' « organisatrice de tissus » durant le développement embryonnaire, maintient son activité au cours de la vie adulte protégeant ainsi l’intégrité du réseau neuronal. | |
Pierre Abad Pierre Abad est chercheur INRAE au sein de l'équipe Interaction Plantes-Nématodes à l'Institut Sophia Agrobiotech (ISA). Son sujet : les mécanismes biologiques et moléculaires par lesquels les nématodes, parasites de plantes, tels que Meloidogyne incognita, s'adaptent rapidement aux environnements défavorables et contournent la résistance des plantes. | |
Ramón Aparicio-Pardo Ramón Aparicio-Pardo, enseignant-chercheur Université Côte d'Azur depuis 2015, enseigne des cours de réseautage au département d'informatique et mène des recherches sur la conception et la gestion des réseaux de communication au sein de l'équipe SigNet du laboratoire d'Informatique, Signaux et Systèmes de Sophia Antipolis (I3S). | |
Robert Arkowitz Robert Arkowitz, chercheur CNRS à l'Institut de Biologie Valrose (iBV), étudie la polarité cellulaire essentielle au développement des organismes. Il analyse la perte ou la pertubation de polarité caractéristique d'une variété de maladies et d'anomalies congénitales. | |
Silvia Marzagalli Silvia Marzagalli, enseignante-chercheuse Université Côte d'Azur au Centre de la Méditerranée Moderne et Contemporaine (CMMC) et membre honoraire de l'Institut Universitaire de France, travaille sur l'histoire du commerce portuaire en France à la veille de la Révolution. Elle analyse les stratégies marchandes en temps de guerre. | |
Uwe Meierhenrich Uwe Meierhenrich est enseignant-chercheur Université Côte d'Azur à l'Institut de Chimie de Nice (ICN). Ses travaux portent sur l’asymétrie moléculaire et la chiralité. Meierhenrich participe à la mission cométaire Rosetta de l’ESA, la première mission spatiale qui a tenté d’étudier la chiralité des molécules organiques. Il est également impliqué dans la mission ExoMars. Sa théorie sur l’origine de l’asymétrie biomoléculaire porte sur des photons interstellaires chiraux, qui ont transféré leur asymétrie vers les molécules chirales comme des acides aminés et des sucres. | |
Xavier Noblin Xavier Noblin, chargé de recherche CNRS à l'Institut de Physique de Nice (INPHYNI), travaille sur la physique de la matière molle et sur la biophysique. Il s'intérèsse plus particulièrement à la physique des plantes et aux interfaces liquides et microfluidiques. |